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La Palabra

Print version ISSN 0121-8530

Abstract

DELLARCIPRETE, Rubén. LA REPRÉSENTATION DE LA FEMME DANS LA NARRATIVE ARGENTINE DE LA FIN DU XIXÈME SIÈCLE. UNE ÉTIOLOGIE IMAGINAIRE DU CORPS ET DE LA MORALE ARGENTINE. La Palabra [online]. 2014, n.25, pp.93-103. ISSN 0121-8530.

De notre corpus d'analyse, on pourrait inférer que, dans un milieu social dominé par l'homme, l'autonomie du genre féminin, loin d'être revendiquée, était représentait comme folie, hystérie ou névrose, des états mentaux qui étaient considérés des pathologies fréquentes chez la femme «dû à sa prédisposition naturelle ». À la fin du XIXème siècle, les professionnels liés aux sciences médicales, étaient devenus des fiscaux sociaux qui décodaient et contrôlaient le langage des corps. Ils déterminaient la possibilité de leur capture pour le système et leurs réseaux de domination, et ils évaluaient leur possibilité d'insertion dans la modernité socio-économique. Les écrivains n'ont pas échappé à la conception conservatrice sur le répertoire moral qui définissait la conduite des «irresponsabilités». La littérature a eu le rôle de médiatrice au service des intérêts dominants, en réponde symbolique à la progressive modification du lieu social que les femmes ont commencé à avoir, dans la culture du Rio de la Plata.

Keywords : Narrative argentine de la fin du XIXème siècle; autonomie de la femme; positivisme; libéralisme économique.

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